Après un début de carrière dans les médias, Vanessa Pinoncely effectue un tournant professionnel radical et lance la marque Dear Charlotte. La créatrice évolue dans un univers romantique et poétique qui donne vie à des bijoux et blouses en dentelles blanches inspirés d’un autre temps.
Un regard bleu azur, des cheveux blonds qui tombent le long de ses épaules, un visage de porcelaine dont émane une douceur certaine, on dirait que Vanessa sort des bancs de la fac. Pourtant, cette jeune femme qui a tout juste quarante ans le jour de notre interview, a déjà un vécu professionnel qui force l’admiration.
Vanessa vient de l’univers de la presse et des médias. Son métier dans la publicité ne la prépare pas particulièrement à devenir créatrice. Mais il y a bientôt six ans, l’envie de se consacrer pleinement à sa passion pour les bijoux anciens la rattrape. Soutenue par son entourage, elle décide de tenter l’aventure et de créer sa propre marque, Dear Charlotte.
Un diplôme d’école de commerce en poche, elle poursuit ses études à Mod’spé, une école spécialisée dans la mode. Elle fait son tout premier stage chez Prisma Presse, passe sept ans chez Lagardère puis sept autres années chez Vogue Paris où elle vend les espaces publicitaires du secteur de l’horlogerie et de la joaillerie. Elle découvre alors tout un univers grâce aux formations qu’elle a l’opportunité de suivre grâce à Condenast. Elle se familiarise avec les grands mouvements liés aux bijoux, les techniques de sertissage, et accumule les connaissances nécessaires pour tenir un discours cohérent face aux marques lorsqu’elle part en clientèle. Elle parcourt également les salons comme la foire de Bâle ou encore Bijorhca et complète son apprentissage. Pendant sept ans, elle est immergée dans cet univers qui la passionne de plus en plus.
L’idée de créer sa marque arrive comme un déclic lors de son premier congé maternité où elle « commence à tatouiller du bijoux » avec une fulgurante envie de se lancer dans autre chose. A la naissance de son deuxième enfant, Vanessa profite de sa césure pour prendre des cours et approfondir toutes les techniques inhérentes à la création de bijoux. En 2011, elle lance, en parallèle de ses activités chez Vogue, la marque Dear Charlotte.
J’aimais bien Dear Charlotte au début (les bijoux ; je ne connais pas les blouses), mais je trouve que ce n’est plus le bijou fin and d’inspiration vintage que c’était. Ca fait un peu toc et ressemble a beaucoup de bijoux trouvés dans les boutiques de bord de mer. Ca brille beaucoup. C’est joli sur une peau bronzée mais après les vacances ca n’a pas trop d’allure a la ville car la qualité n’est as assez bonne pour ca (meme si c’est de qualité tout a fait décente pour le prix ; on ne peut pas tout avoir !). Je trouve aussi qu’il y a beaucoup de bijoux copiés sur d’autres créatrices. Ca me gene ca. La créatrice a l’air très sympathique mais je pense bénéficie beaucoup d’avoir bossé au magazine Vogue. Il y a des choses plus jolies ailleurs qui ne sont pas photographiées dans la presse car le créateur n’a pas d’amis dans la presse mode.